Repost de petites chroniques autobiographiques originellement publiées sur mon compte Facebook en 2024, à l'invitation de Phil Sharks s'étant lui-même prêté à l'exercice. Une sélection basée sur des disques ayant jalonnés une partie de ma vie, et me définissant donc quelque peu. Decouvertes adolescentes, grands classiques, trucs spécialisés moins connus...j'ai essayé d'être le plus personnel, en évitant si possible trop de redite avec mon ami roanno-stephanois, avec lequel je partage pas mal de goûts. Enjoy !
Ps : Une page spécifique a été créée sur mon blog, permettant de
rediriger éventuellement les âmes perdues aterrissant ici par hasard.
#1 : Stray Cats Gonna Ball, 1981 (et 1er lp, même année)
J'ai été ouvert à ce groupe de Rockabilly l'année de la sortie de cet album, ou peut-être un an après, et j'ai reçu une grosse claque.
Mes souvenirs sont un peu flous, nous étions en train d'emménager notre maison toute neuve à Riorges ma famille et moi et je peux imaginer que ce second album "anglais" (le groupe est Americain mais a vu ses deux premiers opus enregistrés en Albion la même année) a été acheté avant le premier album, acquis dans un second temps dans la boutique France loisir de Roanne qui le proposait. Ces deux lps ont été cela dit usés jusqu'à la corde ; j'ai acheté plein de posters du groupe qui ont orné ma chambre d'ado, et le groupe m'a introduit au Rockabilly et entre autre à Eddie Cochran, voix royale pour tout le Rock'n'roll fifties. Je ne les ai jamais vu en concert, mais peut-être est-ce encore possible !? Même si ce second à un je ne sais quoi de saveur mélodique et dynamique supplémentaire, tandis que le précédent est plus roots et wild, ces deux albums sont des Must have.
Concernant le premier, il est à noter aussi que c'est l'un des rares groupes de cette période années quatre-vingt, surtout pour un trio de ce style, où l'on voit les membres poser dans un vrai garage. Une pochette à la photographie et au style incroyables, qui m'a fascinée, ouvrant sans doute la voie à tout le reste ensuite.
Autre anecdote : à l'époque de cette première passion musicale, on trouvait le logo du trio un peu de partout sur les revues, et si j'avais opté pour unn tatouage, qui commencait tout juste à devenir à la mode, j'aurais opté pour ce chat de gouttière à la banane.
*Ah oui, une dernière chose : ma copie du premier album possède un "label", c'est à dire le rond central du disque, au papier bouffant, ce qui m'a toujours étonné. Une erreur de fabrication ? une idée géniale ? Cette pin up blonde en robe fifties assise par terre en était que plus afriolante. (La photo dessous ne montre pas cet effet, car prise sur Discogs).
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